Il est normalement convenu que l’intelligence réside à des degrés divers dans chaque individu.
Mais la complexité, l’amplitude et l’urgence des problèmes liés à la protection de l’environnement obligent à considérer le concept d’une intelligence collective, qui s’acquiert et se développe en tant qu’ espèce .
En effet, les défis écologiques ne peuvent être le fait d’une poignée d’experts. ; au contraire le sujet est tellement transversal qu’il doit être pris en charge par une quantité de spécialistes, de scientifiques mais aussi par nous tous, membres de la société.
Nous sommes tous concernés et devons prendre connaissance des dangers et des relations de cause à effet, mais aussi des opportunités de préparer une vie meilleure pour nos enfants. Nous avons besoin d’une « détermination » collective.
Mais où et comment développer notre nouvelle conscience écologique ? Quelle est l’institution qui peut prendre cette responsabilité, y trouver un bénéfice réel et toucher le maximum de membres de la société.
L’entreprise, et en particulier les grands groupes, est un lieu idéal pour engager l’homme dans l’acquisition d’un nouveau savoir, d’une nouvelle expérience et d’une responsabilité partagée. Elle est déjà structurée, organisée pour diffuser de la connaissance et de la compréhension. Les entités internes de vente, maintenance, finance, planification et production ont toutes une très forte expertise dans leur domaine orientée dans un but commercial.
Le travail en équipe est déjà un art indispensable dans l’entreprise pour partager l’information, organiser la collaboration. Il suffit de l’appliquer à un thème qui est commun à tous les membres de l’entreprise.
Les conditions du succès pour une mutation profonde de nos comportements sont réunis dans l’entreprise et en particulier pour :
- être conscient de l’impact de nos décisions et actions
- désirer des améliorations et progrès à grande échelle
- partager notre savoir et notre expérience
Cette nouvelle intelligence écologique inspirerait tous nos choix individuels et collectifs pour un monde meilleur et nous donnerait un rôle de « modèle » pour les générations à venir.
Développer une intelligence écologique d’entreprise doit donc désormais faire partie des responsabilités des grands groupes. Les moyens : intranet, les événements d’entreprise et la formation expérientielle pour garantir le passage des concepts à l’action. Les leaders des grands groupes sont ils prêts à faire de cette forme d’intelligence responsable une nouvelle ressource, un nouvel actif dans leur bilan ? Ils n’auront sans doute pas le choix.
Mais la complexité, l’amplitude et l’urgence des problèmes liés à la protection de l’environnement obligent à considérer le concept d’une intelligence collective, qui s’acquiert et se développe en tant qu’ espèce .
En effet, les défis écologiques ne peuvent être le fait d’une poignée d’experts. ; au contraire le sujet est tellement transversal qu’il doit être pris en charge par une quantité de spécialistes, de scientifiques mais aussi par nous tous, membres de la société.
Nous sommes tous concernés et devons prendre connaissance des dangers et des relations de cause à effet, mais aussi des opportunités de préparer une vie meilleure pour nos enfants. Nous avons besoin d’une « détermination » collective.
Mais où et comment développer notre nouvelle conscience écologique ? Quelle est l’institution qui peut prendre cette responsabilité, y trouver un bénéfice réel et toucher le maximum de membres de la société.
L’entreprise, et en particulier les grands groupes, est un lieu idéal pour engager l’homme dans l’acquisition d’un nouveau savoir, d’une nouvelle expérience et d’une responsabilité partagée. Elle est déjà structurée, organisée pour diffuser de la connaissance et de la compréhension. Les entités internes de vente, maintenance, finance, planification et production ont toutes une très forte expertise dans leur domaine orientée dans un but commercial.
Le travail en équipe est déjà un art indispensable dans l’entreprise pour partager l’information, organiser la collaboration. Il suffit de l’appliquer à un thème qui est commun à tous les membres de l’entreprise.
Les conditions du succès pour une mutation profonde de nos comportements sont réunis dans l’entreprise et en particulier pour :
- être conscient de l’impact de nos décisions et actions
- désirer des améliorations et progrès à grande échelle
- partager notre savoir et notre expérience
Cette nouvelle intelligence écologique inspirerait tous nos choix individuels et collectifs pour un monde meilleur et nous donnerait un rôle de « modèle » pour les générations à venir.
Développer une intelligence écologique d’entreprise doit donc désormais faire partie des responsabilités des grands groupes. Les moyens : intranet, les événements d’entreprise et la formation expérientielle pour garantir le passage des concepts à l’action. Les leaders des grands groupes sont ils prêts à faire de cette forme d’intelligence responsable une nouvelle ressource, un nouvel actif dans leur bilan ? Ils n’auront sans doute pas le choix.